Héberger ce que l’on appelle désormais ses « données », à savoir ses fichiers informatiques (listes de clients, des commandes passées, des réservations, des règlements effectués, des stocks…), est devenu indispensable tant Internet a pris d’importance dans nos sociétés. Après les désormais classiques stockages sur supports personnels autonomes (disques durs externes, clefs usb, etc.), on a vu apparaître les solutions du Cloud (« nuage » en français), soit la possibilité de faire stocker ces données dans de grands centres externes. Avec, là aussi, différentes options : le serveur virtuel, le serveur dédié, le serveur mutualisé, et la plate-forme cloud proprement dite.

Le Cloud public d’Ikoula

Concernant le Cloud, on peut nuancer entre Cloud privé et Cloud public. Ce dernier, initialement impulsé par des géants du Web comme Amazone et Microsoft intéresse de plus en plus de petites et moyennes entreprises : plus de 17 % de croissance entre 2015 et 2016 selon cet article de Dataevent. On ne s’étonnera donc pas que l’entreprise française spécialiste de l’hébergement Ikoula (qui est le premier hébergeur « vert » de France et qui est propriétaire de son propre Data center, ou centre de données), se soit lancée dans le Cloud public cet automne, ainsi qu’on peut le découvrir sur : https://express.ikoula.com/fr/cloud-public